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Message d’espoir aux populations de Melombo, une localité de Bipindi par le désormais Conseiller régional, Félix Etoundi

Si tous appartiennent au Rdpc et ont reçu l’onction de la hiérarchie de leur parti politique, le Rdpc,  les populations exultent de voir sur la liste certains noms comme celui de Félix Edmond Pierre Etoundi, ou encore François Oba’a Bikoro.

Après  la convocation du corps électoral en vue de l’élection des conseillers régionaux par le président de la République pour  le 06 décembre 2020 prochain, à la faveur de  la résolution 038/R/Elecam/CE du 02 octobre 2020, les listes de candidats de la catégorie des conseillers de département sont désormais publiques.  Dans l’Océan, tout comme dans les trois autres départements de la région du Sud que sont : la Mvila, la vallée du Ntem et le Dja et Lobo, seul le Rdpc est en compétition pour cette élection. Raison suffisante pour que les populations et particulièrement les militants du ‘’ parti du flambeau ardent,’’ plastronnent alors même qu’il faut encore plusieurs semaines pour la tenue de ce scrutin.  Parmi les personnes qui ne cachent pas leur satisfaction, après le casting fait dans le Rdpc et la promulgation des listes des Conseillers du département de l’Océan, les originaires de l’arrondissement de Bipindi dont un digne fils, en

           Langage de vérité et des promesses fermes à ses frères et sœurs  

 l’occurrence, Félix Edmond  Pierre  Etoundi, en fait partie. C’est pratiquement le cas à Lolodorf, où le dévolu de la hiérarchie du parti a été jeté sur François Bikoro, même si dans cette localité l’on enregistre des revendications sourdes des Ngoumba qui estiment qu’ils ont été lésés. 

Législatives et municipales du 9 février dernier à Bipindi, le futur conseiller conduisant une délégation pour battre campagne en faveur des listes Rdpc

 

Pour comprendre la joie qui habite les populations de Bipindi, il faut certainement camper  Félix Edmond  Pierre Etoundi leur héraut à cette élection. Bien que cet exercice ne soit pas une gageure eu égard à sa multidimensionnalité.  Néanmoins, d’entrée de jeu, il faut dire que cet originaire du Sud dont la réputation d’homme d’affaire intègre et très proche des préoccupations des populations, précède partout, à la faveur de sa myriade d’actions à grande valeur ajoutée sociale, est le promoteur de l’agence Finexs Voyages. Cette compagnie qui fait autorité dans le secteur du transport interurbain. Finexs Voyages qui a pignon sur rue au Cameroun est donc à l’image de son magnanime et chevaleresque  président directeur général, Félix Edmond  Pierre Etoundi, qui aime à dire : « Transporter des vies humaines revêt un caractère encore plus sensible surtout lorsqu’il s’agit de rallier deux

            

métropoles entre lesquelles, existe un trafic à haute intensité et à haut risque : Douala et Yaoundé, axe névralgique, corridor incontournable de le zone Cemac, centre d’approvisionnement des villes du Cameroun. » Et d’ajouter : «  De ce point de vue, ce transport devrait être professionnel dans l’esprit et la pratique ». Des propos du Pdg qui traduisent sa détermination de faire de son entreprise une référence en termes de professionnalisme, mieux une vitrine du secteur des transports dans son pays.

Porteur d’espoir

 

En toute sobriété, le Pdg, Félix ETOUNDI  entouré par ses frères

 

Hiérarque dans les affaires, d’un dynamisme à fleur de peau, pugnace et compassé, grâce à sa force du poignet et à sa détermination  à pourvoir  avec art aux exigences de ses charges sociales et professionnelles, Félix Edmond Pierre Etoundi est un grand porteur d’espoir pour les populations de Bipindi dont il est originaire. Le Pdg est  d’ailleurs considéré par ses frères et sœurs comme un homme providentiel.  Le voir faire partie de la liste des Conseillers en vue de l’élection  régionale du 6 décembre prochain est un vœu pieux  très cher aux populations qui a ainsi été exaucé. Blanchi sous le harnais des transports, ses partisans restent convaincus que non seulement il a l’étoffe d’un conseiller régional, mais surtout il est prêt à apporter davantage son savoir et son savoir-faire et même ses moyens financiers et autres pour le bien-naître des populations du cru, mais aussi pour la construction du Cameroun.

Quant à François Bikoro, icône de la communication, c’est un homme qu’on ne présente plus aux Camerounais, aussi bien sur les plans politique que social. Eminent journaliste et homme politique de grande réputation, le candidat à  

 

Le futur conseiller, François Bikoro, activateur politique se ressource dans les chutes de la Lobé de son Océan natal 

L’élection des conseillers régionaux de Lolodorf se présente à ses compatriotes sous plusieurs étiquettes. Ses proches ne tarissent pas d’ailleurs d’éloges sur ce monsieur industrieux qui reste pénétré de valeurs d’honneur, de diligence, de loyauté, de sens du devoir et de fidélité. Cultivé et affable, François Bikoro régional entretient des rapports quasi symbiotiques avec les populations de son cru et ses collaborateurs partout où il a été appelé à servir la nation.

Tenue des sessions

Par ailleurs, il n’est pas superfétatoire de rappeler que le nombre de conseillers régionaux est  fixé à 90 par région, soit 900 au total dans l’ensemble du territoire national. « Ce nombre garantit la représentation de chaque arrondissement (360 au total) par au moins un conseiller au sein du grand Conseil régional. 70 délégués sont issus des départements et 20 représentants du commandement traditionnel», selon une source médiatique. Toujours à savoir, en ce qui est du régime des indemnités, il est établi que les conseillers régionaux recevront une indemnité de session, des frais de mission et le remboursement des frais occasionnés par la tenue des sessions dont les montants seront fixés par un décret du président de la République.

 Il faut donc dire que la mise en place du conseil régional vient compléter la panoplie concernant les élections au Cameroun. Cela se préfigurait d’ailleurs depuis plusieurs mois. On se rappelle de l’instruction du président, Paul Biya, contenue dans le communiqué qui avait sanctionné l’un des conseils ministériels tenu en janvier, il y a près de deux ans au palais de l’Unité. En fait dans sa feuille de route, le premier des Camerounais, face aux membres du gouvernement, avait parlé de la préparation de prochaines élections législatives, municipales et régionales. Des élections régionales qui sont, il faut  le souligner, encadrées par la loi n° 2006/004 du 14 juillet 2006 fixant le mode d’élection des conseillers régionaux contenue dans la Loi fondamentale de 1996 amendée en 2008.

 

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