Simon Mann, mercenaire et cerveau du coup d'Etat manqué à Malabo en 2004
Des baleines aux couleurs de l'opposition équato-guinéenne échouées et prises en flagrant délit de mensonges sur la plage noire (Black Beach), la prison de Malabo.
L'opposition équato-guinéenne depuis des décennies exilée volontaire en Espagne brille par la désinformation et les contre-vérités, la plus flagrante de ces contre-vérités de ce groupe de mythomanes est la description qu'il fait de la prison de Black Beach qui serait un enfer. Une peinture ubuesque qu’a contestée un détenu, le mercenaire britannique d’origine sud-africain Simon Mann, le cerveau du coup d’Etat manqué de 2004 orchestré par cette opposition exilée et assoiffée du pouvoir. Ce dernier a séjourné après avoir été impliqué dans une tentative de renversement des institutions démocratiquement établies. Il ne saurait exister de démenti cinglant et plus proche de la réalité que celle faite par un locataire de ces lieux dont le sort, pour les mêmes faits, ailleurs que dans le pays de Teodoro Obiang Nguema Mbasogo aurait été scellé dans le sang après plusieurs séances de tortures. Du point de vue de ce mercenaire Britannique, ancien prisonnier de Black Beach qui avait déclaré après avoir été gracié par le Président de la République de la Guinée Equatoriale, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo que ce pénitencier comporte en son sein des chambres individuelles, des bibliothèques, des gymnases pour le sport, est plutôt un lieu de vie plus proche d'un hôtel étoilé que de l'enfer de Dante comme le décrit l'opposition équato-guinéenne exilée. Cette systématisation de la critique et cette tendance morbide à tout peindre en noir relèvent de la mauvaise foi. L'opposition équato-guinéenne, un peu à l'image de la plupart des oppositions africaines a trouvé comme fonds de commerce le dénigrement de leur pays aux fins de lever des fonds pour leur survie économique et politique dans leurs lieux d’exil. Ainsi, tous les points positifs marqués par les tenants du pouvoir auxquels elles s’opposent sont ignorés et mises en marge des analyses. Il est vrai qu'on ne peut naturellement pas s'attendre à une attitude diamétralement contraire à l’opposition, mais une opposition plus responsable devrait orienter son action vers la pression exercée sur le gouvernement en place en vue d’améliorer ce qui est fait. La force de proposition étant la force de l'opposition et non le déni systématique des actions menées par ceux qui tiennent les rênes du pouvoir.
Le mensonge ou le pire des maux.
Severo Matías Moto Nsá, le principal commanditaire du coup d'Etat manqué de 2004 qui a essayé de renverser le pouvoir de Malabo
Le pire des péchés de l'opposition est d'ériger le mensonge en programme politique. C'est malheureusement le fait de l'opposition équato-guinéenne. Celle-ci en plein délire et en dérive idéologique use de mensonges comme d'une bouée de sauvetage afin de traverser les rapides abruptes qui meublent l'océan désertique de l'opposition. Une telle option ne pouvant être perçue par les citoyens honnêtes qui vivent au quotidien les réalités des peintures affreuses qu'ils font de leur pays, comme autant de trahisons.
Gabriel Nse Obiang Obono l'autre opposant
On ne devrait pas dénigrer son pays uniquement parce que l'on voudrait voir un homme ou un gouvernement s'en aller. Le pays étant intemporel et les hommes limités dans le temps. Les peuples en général, et celui de la Guinée Equatoriale en particulier sont entichés de l'image de leurs pays. La mémoire du peuple équato-guinéen est dédiée à la préservation de la paix de son pays. Car, il sait d'où il vient et au prix de quels efforts il est parvenu aux portes de la terre promise du développement, pour laisser quiconque montrer de ce pays l'image désastreuse que les opposants réunis sous le regroupement (assodegue) font de lui. Au risque que ces opposants restent et pour très longtemps encore dans l'opposition et sombrent dans l'oubli. Ils n'en sont pas très éloignés.
Joseph Ntsama Mbarga
