L’opérateur économique prospère trace les sillons d’une œuvre humanitaire féconde qui fera date.
Une jeunesse au service du developpement du Cameroun
«Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années », enseigne la célèbre maxime. Cette pensée s’applique bien sur Aboubakar Al Fatih, Président Directeur Général de sociétés, dont la Société de foresterie Bois du Cameroun (BOISCAM) bien connue dans le massif forestier national. Le quadra bon teint né à Banyo, a tissé une solide réputation à l’ombre des aînés. Dans le septentrion, l’on citait pêle-mêle : Fadil, Issa Balarabé, Alhadji Abbo, Alhadji Pantami, Nana Bouba, Mohamed Moctar il faudra désormais compter aussi avec Aboubakar Al Fatih. Discret et très sobre, le jeune homme d’affaires allie à la fois la culture islamique et la praxis managériale.
Des essences précieuses transformées localement pour répondre au exigences de l'heure
C’est auprès des grosses pointures de la politique qu’il fait ses classes. Feu Hamadjoda Adjoudji, ancien ministre, ancien Secrétaire général adjoint du Rdpc et ancien Président de conseil d’administration des structures étatiques (Université de Ngaoundéré, Lanavet, ARMP), Abba Sadou ou le Sénateur Lamido de Banyo , El Hadj Mohaman Gabdo YAYA n’ont aucunement souffert de quelconque croc-en-jambes comme il en existe en politique. Bien au contraire, la franche collaboration a toujours été de mise entre le PDG de BOISCAM et l’élite du département de Mayo-Banyo. La récente élection présidentielle a été le théâtre d’un travail acharné pour la victoire du champion du Rdpc
Aboubakar Al Fatih est un bosseur qui n’hésite pas à inculquer à la jeunesse les vertus du travail bien fait. Car, convaincu de doter le Cameroun en général et sa région en particulier d’une masse critique abondante afin d’impulser l’émergence économique projetée à l’horizon 2035 par le Chef de l’Etat
La gent féminine à l'oeuvre
Investissements agro-pastoraux
Digne fils peul, l’élevage reste sa passion première. Il est propriétaire d’un ranch. Ce dynamique opérateur économique est determiné de se lancer dans la transformation du cacao ou il exploite plusieurs plantations avec à la clé des centaines d’emplois créés dans l’arrondissement de Yoko, le plantain n’est pas en reste.
TBC fait des investissements dans le domaine agricole et emploie à ce jour un nombre important des camerounais, toutes choses qui résorbent le problème d’emploiyabilité surtout jeune. C’est pourquoi il est important que ces jeunes soient formés. Les lauriers glanés dans ses entreprises prouvent la débauche d’énergie qu’il déploie. Ses employés sont unanimes sur sa grandeur d’âme: « Nous avons un patron très humain et très rigoureux au travail », a martelé un employé de BOISCAM.
Le Cameroun qui vient d’entamer le septennat des grandes opportunités est certainement sur une trajectoire ascendante avec des opérateurs économiques visionnaires de la trempe d’Aboubakar AL Fatih qui vont attirer d’autres investisseurs, afin de développer le Cameroun, terre d’attractivités dont le Président Paul Biya ambitionne l’émergence en 2035. L’appel du chef de l’Etat en direction de la jeunesse a eu un écho sur Aboubakar AL Fatih qui a osé et le résultat est patent : Boiscam, TBC etc...
Positiviste, Aboubakar AL Fatih a encore du talent à dévoiler au monde et surtout un dynamisme sans pareil qui sortira bientôt des centaines de jeunes du désœuvrement.
Bon vent l’étoile.
Un bétail de qualité prêt pour le marché local et sous-régional
Des pépinièrs cacaoyères bien entretenues