Lequel est pour la vie ?
La riposte des laboratoires de recherche contre la pandémie du Coronavirus qui décime les populations dans le monde semble porter des fruits en forme de vaccin que s'arrachent les pays riches.
L’Afrique, le continent de Toumaï lui, s'interroge et se méfie de ces vaccins qui sortent des laboratoires comme des champignons vénéneux et hésite à mobiliser son peuple pour lui administrer ce que de plus en plus d'opinions considèrent comme du poison destiné à décimer les populations africaines très peu victimes de ce virus qui a déjà fait des centaines de milliers de morts ailleurs. L’Afrique a d’ailleurs des raisons légitimes de se méfier de ces vaccins sortis des laboratoires occidentaux. Des virus, tous ayant pour objectif de contrôler la croissance démographique de l'Afrique ont fait l'objet de dénonciations par leurs propres auteurs par le passé. Même comme on a pas véritablement obtenu des preuves irréfutables d’un projet génocidaire contre les africains, eux se méfient de l'Occident quelque peu jaloux de la résilience de ce peuple qui a survécu à plusieurs épidémies et qui fait mieux que résister au virus à couronne. Le pire que l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) avait présagé à l’Afrique n'ayant pas eu lieu, il y a de quoi s'interroger sur l'intérêt qu'elle a à vacciner les africains. C'est une problématique qui va animer les débats politiques dans les jours à venir sans discontinuer. Toujours est-il que, l'Afrique doit continuer à observer les mesures-barrières qui jusqu'ici lui ont permis d'être quelque peu préservée par cette pandémie. Elle doit aussi continuer à rechercher des solutions naturelles et endogènes qui ont été jusqu’ici, son vaccin miracle. Se faire inoculer le virus qui est le principe du vaccin ne semble pas convenir à l'Africain. Il peut lui être fatal. Aucune preuve évidente ne permettant en la situation actuelle de parler d'un génocide contre l'Afrique. Prudence et vigilance devraient rester de mise jusqu'à la disparition complète de ce virus grâce à l'immunisation à grande échelle des populations qui se seront fait vacciner. L’Afrique quant à elle a ses écorces et ses décoctions pour lutter contre cette pandémie.
Par Mfegue Etoa
