«J’ai appris quelque chose du chef de l’Etat : le meilleur remède à toute chose c’est le temps. Et son temps est toujours juste. »


Face à la rédaction

Très connu dans le monde des affaires, inconditionnel promoteur de la politique du Renou- veau à la faveur d’une série de réalisations dans le domaine social, mili- tant convaincu du Ras- semblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc) et mécène de sport, Jules François Famawa nous a accordé un entretien.
Monsieur   le président,   pouvez – vous nous dire qui est Jules François Famawa ?
Jules François Famawa est le fils du tout premier conducteur de trains à charbon au Cameroun, Nana Jean. J’ai fait mes études primaires à Ba- fang et le secondaire à Douala. Je suis diplômé au Cameroun d’un BTS en gestion d’entreprises. J’ai migré en France puis au Canada où j’ai pour- suivi mes études. Je suis expert en stratégies d’investissement. Ma ma- ladie, c’est créer des entreprises, c’est pondre des idées. C’est une passion de travailler tous les jours. A penser comment créer des emplois. Surtout qu’on se rappelle qu’à cause de l’étroitesse  du marché de l’emploi des années 90 à 2000,  après avoir ob- tenu un Bac, on n’avait aucune pers- pective. Il n’y avait pas de concours, donc pas de lueurs d’espoir. Les troubles de 90 à 97 avaient créé un blocus de la machine opératoire ca- merounaise et, Dieu soit loué, le chef de  l’Etat  avait tenu  bon. Au- jourd’hui, toutes proportions gar-dées, les Camerounais reconnaissent que si le président de la République avait cédé à la pression de la rue, le pays serait dans un chaos.


On note votre intense activité à ca- ractère social que vous menez à tra- vers   le   triangle   national, Pouvez-vous nous faire l’économie de vos actions à la faveur des popu- lations défavorisées en général, et de la jeunesse en particulier ?
Je rentre  au Cameroun  définitive- ment le 24 décembre 2014, parce que je nourrissais l’ambition de ser- vir mon pays. J’arrive ici avec un peu d’argent et un navire pétrolier. Un bateau spécialisé dans le transport du pétrole brut. Mon intention était de venir essayer de baisser autant que faire se peut les coûts de trans- port que j’avais observés, même étant à l’étranger, dans les circuits pétroliers camerounais à partir des multinationales.  Après une longue série d’études,  le gouvernement  a compris qu’il fallait essayer avec un jeune de la Diaspora. Parce qu’il y avait beaucoup  de  gens  qui  hési- taient et qui ne voulaient pas croire qu’un jeune comme moi était à me- sure d’honorer  cet important contrat. A la vérité celui-ci n’était pas à la portée  du premier venu. Nous sommes là dans un domaine assez délicat. Lorsque je m’investis dans ce secteur, je commence  à gagner un peu d’argent. Du coup, je me qu’il faut que j’apporte mon soutien aux nécessiteux,   aux  gens   qui   n’ont même pas de l’eau à boire.


Patriole invétéré

 Je suis allé dans le Nord pour rendre visite à un grand frère, chemin faisant je me suis rendu compte qu’il fallait parcourir
des kilomètres et des kilomètres à la recherche de l’eau. Alors je me suis engagé à prendre certains problèmes sociaux à cœur. Car, j’ai trouvé inadmissible que dans un pays auquel je revendique  l’appartenance  et qui m’est  cher,  que malgré les efforts
faits par le président  de la République pour sortir les populations de la  pauvreté,  des  personnes  continuent de vivre dans une précarité indescriptible.  Alors  dans  l’optique d’inscrire mon action en droite ligne de la politique  du Renouveau,  j’ai
fait du problème d’eau l’un de mes chevaux de bataille. C’est ainsi que j’ai décidé d’offrir le maximum de forages dans les différentes régions du pays. J’ai commencé par Mundemba dans le Sud-ouest où nous avons fait au total trois forages, neuf dans le
Nord-ouest partout à Ndop, Ba- menda et nous sommes allés par la suite dans la région de Kumbo  où nous avons également construit neuf forages. Nous étions un groupe de jeunes dont le président du Conseil national de la jeunesse, le président national des jeunes républicains du Cameroun. Ce sont de petits frères qui m’ont suivi, et de commun ac- cord nous avons décidé de faire che- min ensemble. Nous avons offert un forage à Makak, de même qu’à Eséka et à Ngoulemakong dans le Sud. J’ai fait une adduction d’eau au centre d’instruction  militaire  de Djoum, pour vous dire jusqu’où nous sommes arrivés. Nous avions réhabi- lité le centre de Scamwater en cap- tant de l’eau dans une rivière puis en la traitant pour l’envoyer au niveau de leur base. C’était quelque chose de formidable et je suis fier de l’avoir fait. Dans le Ndé, à date, il y a huit fo- rages   à   notre actif.   En  ce  qui concerne les infrastructures sani- taires et hospitalières, j’ai offert un bâtiment de huit chambres à hospi- taliser à l’hôpital de Bazou. Le maté- riel médical à Bassamba où j’ai également construit  un forage. Le matériel médical aussi dans le Haut- Nkam. En cette année 2018, nous projetons la construction d’une quinzaine de forages contre 27 l’an- née dernière. Nous avons commencé à Fébé Village, les travaux sont à la fin. Il en est de même pour Bipindi dans le Sud. Nous recevons des do- léances des populations à l’exemple de celles d’Obala et même des solli- citations venant de Guider, Maroua I, parce que Maroua II en a déjà bé- néficié, de même que Mora qui en compte trois. Nous irons jusqu’à ko- lofata, le Vice premier ministre Ama- dou Ali m’ayant suggéré de ne pas laisser les populations de cet arron- dissement à la traîne. Bogo fait éga- lement  partie  de  bénéficiaires  de l’année dernière avec à son compte deux  forages.   Cette année  nous avons mis le cap sur 15 forages.  Il faut souligner que la construction d’un seul forage est évalué de 10 à 11 millions de FCFA surtout lorsqu’il est à une certaine distance. C’est le projet de 2018 de M. Famawa en ce qui concerne le social.
Est-ce que vous bénéficiez du soutien des pouvoirs publics dans cette immense œuvre en faveur des populations ?
Lorsqu’on  veut poser des actes so- ciaux en remerciement  à un papa aussi sage comme  l’est  le chef  de l’Etat, je pense qu’il faille le faire à hauteur de ses propres moyens. Il faut poser des actes qui sont ceux de justice  aux yeux de l’Eternel  Dieu Tout-Puissant. Si vous le faites parce que vous attendez quelque chose des pouvoirs publics, si vous attendez les contributions,   ces   actes   cessent d’être des actes de charité. Comment  fait-on  pour  réussir à l’Etranger  lorsque pour la plupart d’Africains l’aventure s’arrête après la mort dans la Méditerranée ?
Je vais  commencer   par  la  petite phrase : « la mort dans la Méditer- ranée ». Le message à mes jeunes frères, est de ne pas penser que ce n’est qu’en Occident qu’on peut réussir. C’est de un. De deux, j’ai vu des personnes  vendre leurs comp- toirs de marchandises afin d’obtenir 5 millions de FCFA pour aller mourir dans l’eau.



Le manageur attentionné


 Je dis donc que c’est déjà un manque d’encadrement dans certains pays. C’est pourquoi le chef de l’Etat a bien pensé en créant le Conseil national de la jeunesse. J’in- vite les jeunes à s’inscrire nombreux à l’observatoire  et à se rapprocher généralement du bureau pour avoir des conseils. En ce qui concerne la réussite à l’Etranger, il n’y a pas de modèle standard. Personne ne peut véritablement vous tracer le chemin de la réussite.  Tout  est  aussi une question de chance, de vision et même de détermination. Je vais vous dire quelque chose qui va peut-être vous choquer. Si vous allez chez les « Blancs » pour entrer dans le cycle infernal : métro-boulot-dodo, soyez- en sûr que vous n’allez jamais rentrer dans votre pays. Parce que tout est
fait en sorte que tout ce que vous travaillez reste sur place. Ce sont des sociétés de consommation. Quand vous vous installez dans un pays occidental,  dites-vous  toujours  que vous travaillez pour deux ans dans l’optique de vous mettre à votre propre compte. Toujours  est-il que ce n’est pas facile, mais il faut être décisif, il faut créer un canevas, mettre un projet sur la table, faire une bonne
étude du marché de ce projet, regarder surtout les contours fiscaux, les aller et venir. A cela  s’ajoute  une bonne étude  du  terrain  pour  escompter  au bout  du compte  une réussite. Quant à moi, je remets tout entre les mains de Dieu qui m’a toujours guidé. Parfois ce sont des miracles, il arrive que je m’asseye dans mon fauteuil et que je me demande si effectivement c’est moi qui suis
ainsi assis. Je suis le 9ième d’une fratrie de 10. Ma mère n’était pas née avec  une  cuillère  en or dans  la bouche et, mon père, comme je vous ai dit d’entrée de jeu, était le premier conducteur de trains à charbon au Cameroun. Il est mort entrepreneur
en bâtiments. Ma mère nous a élevés toute seule. Pour la petite histoire : je la voyais malaxer des tubercules de  manioc à l’huile rouge pour nourrir treize personnes dans une maison à midi. Et le soir, parfois, on mangeait du kaolin et puis buvait de l’eau pour
nous en dormir. Elle est morte le 31 janvier 2008. Pour connaître mon histoire, il faut arriver à l’aéroport international de Douala. Si nous y allions ensemble, vous entendriez les gens m’appeler Pepsi. Ils m’appellent ainsi parce que je suis le premier Camerounais à mettre les jus dans un «pousse  »,  les  couvre  des  glaçons dans les années 88, 89 pour les vendre. C’était  quand la société Pepsi
qui fabriquait Miranda, Pepsi cola et autres fut créée. Je faisais cela également pour  payer mes  études.  Le week-end  je faisais office  de  faux porteur à l’aéroport, les inspecteurs de la Douane qui sont aujourd’hui hors échelle comme les Belinga Nor- bert et le feu Atangana, m’utilisaient alors comme leur secrétaire à un mo- ment donné. Je les aidais à compter les ballots d’importation. Le week- end ainsi rempli, pendant la semaine j’avais de quoi me payer une belle chemise. Je ressemblais ainsi alors à un enfant de famille aisée.
Nous savons déjà qu’en tant qu’opérateur économique, vous êtes impli- qué dans plusieurs domaines d’activité, mais il est toujours  à se demander  votre véritable champ d’action ?
En 2009 étant encore à l’Etranger, j’ai créé une entreprise au Cameroun dénommée JFF Equipement forcé in Cameroon qui faisait dans la vente et location d’engins particulièrement, notamment des Caterpillars et en- gins américains.  Ma  chance  était d’avoir connu une famille au Canada dans les années 97. Malgré le fait que je travaillais, j’allais aussi à l’école. Mon âge ne me gênait pas du fait que j’aille m’asseoir sur un banc et d’ap- prendre. Tous les jours, j’essayais de contacter les gens qui faisaient dans la foresterie et dans le domaine des routes au Cameroun.  Ils me com- mandaient les engins que je leur en- voyais  à  travers  JFF Equipement Forcé. En ces moments, j’avais 9 à 10 engins. C’était  dans les années 98. Cela m’a permis de comprendre que je pouvais réussir sans être en Occi- dent. Alors je viens au Cameroun en 2009, je trouve que mon chiffre d’affaires mensuel est à hauteur de   50 mil- lions. Quand vous louez un Caterpil- lar  n’importe   comment  vous  ne manquez pas 30 millions. Alors je décide de rentrer. La première tenta- tive a été en 2011,  alors quelque chose m’a dit que c’était prématuré. En 2014, j’apprends qu’on a lancé un appel d’offres, ce n’était pas un fait de hasard, mais parce que les pouvoirs publics décriaient  déjà les déficits par rapport à la cherté du transport. Vous savez il y a une société  étran- gère qui l’a fait pendant 30 ans et les prix qu’elle pratiquait étaient élevés. Il fallait quelqu’un qui vienne casser les  prix et je l’ai fait. Le prix  par tonne transportée  était,  je pense,
9500  FCFA. Je suis arrivé à le baisser à 4000 FCFA et aujourd’hui il est stabilisé à 5000 FCFA. Ça fait 4000
F d’économisés par tonne par la So- nara et cela joue beaucoup dans son chiffre d’affaires.
Quand je parviens déjà à stabiliser le prix de transport  au niveau de la So- nara, je crée JFF Oil qui fait dans l’import et l’export des produits pé- troliers. Alors commencent  les dis- tributions    au   niveau   des stations-service,   la  même année,
c’est-à-dire en 2017. Puis je mets sur pied  JFF Fishing  qui  fait  dans la pêche industrielle. Toutes ces socié- tés portent mon nombre d’employés à 213, ce qui est assez lourd. Mais lorsqu’on est animé d’un esprit répu- blicain, on ne peut faire que comme je procède aujourd’hui. Il faut créer des emplois,  parce qu’il y a beau- coup de jeunes au chômage. Chaque jour qu’on gagne, on cherche à créer et à multiplier des structures afin que ces jeunes qui souffrent et sur les- quels les parents ont énormément investi puissent trouver un du travail. Vous êtes militant du Rdpc, est-ce par conviction ou par opportunisme politique ? Et pour vous, Paul Biya est-il toujours le meilleur risque comme disent certaines personnes pour la présidentielle prochaine ?
Je ne comprends pas toujours la der- nière question. Quand vous traitez mon président de meilleur risque, je vous dis que c’est maladroit. C’est un champion, ce papa, je dis bien ce papa parce qu’aujourd’hui je ne pense pas que ça vaut la peine de l’appeler encore président de la République, qui a su nous préserver la paix sociale  chère  à toute  nation. Nous sommes le seul pays en Afrique qui n’a pas connu des trou- bles. Montrez-moi un autre Etat qui a fonctionné  avec autant de calme. En 1984 c’était  quelques malades mentaux qui s’étaient permis des velléités insurrectionnelles avant  de comprendre qu’au Cameroun les coups d’Etat ne passent pas. Mais montrez-moi  un seul pays qui vit le calme que le Cameroun a vécu pen- dant plus de 30 ans. Il y a eu certes quelques remous. Les revendica- tions sociales, c’était normal. Ce qui s’est passé en 1991 et 1992 était en fait l’expression d’une démocratie naissante. Et après, le chef de l’Etat a très vite recadré. En 2008, je pense qu’il y a eu quelques mouvements d’humeur à Douala, mais regardons l’essentiel. Lorsqu’on voit ce qui se passe avec Boko  Haram, on com- prend que le chef de l’Etat maîtrise son  pays et son armée. Pour moi donc  il est un champion.  Un vrai champion. Avec les Camerounais qui sont sincères, nous devons déjà entreprendre de construire un mo- nument à l’honneur de notre champion.

A dire donc que vous êtes un incon- ditionnel du parti au pouvoir, un militant par conviction !
Oui, si conviction  veut dire le fait d’être convaincu. Depuis pratique- ment 27 ans aujourd’hui je suis très actif au sein de ce parti. Ambitionnez-vous  de briguer  un poste en son sein ?
Je répète encore, je ne cherche pas à être maire, ni député.


Entrepreuneur dynamique

 Ce ne sont pas mes intentions et ne le seront jamais. Pour parler de l’actualité, quels com- mentaires vous inspire le réaménage- ment du gouvernement du 02 mars dernier ? Est-ce qu’il répond à vos aspirations ?
A 99% oui. Aujourd’hui un coup de balai de notre champion a donné en- core espoir à ceux qui pensaient qu’il fallait attendre les élections ou après. Vous savez, j’ai appris quelque chose du chef de l’Etat : le meilleur remède à toute chose c’est le temps. Et son temps est toujours juste. Le nouveau ministre des Finances qui est Louis Paul Motazé, un républicain acharné, je suis convaincu qu’il va in- suffler une nouvelle dynamique et donner une nouvelle orientation à la politique financière du pays. Je suis fier d’être Camerounais  lorsque je vois que  chaque  jour,  le  chef  de l’Etat essaye de piloter et de corriger son gouvernement de la plus juste de manière.
Nous  allons  sortir  avec  l’affaire Panthère de Bangangté, ce club qui traverse des moments difficiles. Vous êtes un des protagonistes du conflit actuel. Quelle est votre position ?
Je venais de dire que lorsque vous êtes un républicain, il faut d’abord penser à la population. Je vais vous
faire un peu la genèse. En 2016, j’organise Bazou-jeunesse-Vacances : un tournoi pour la jeunesse de mon arrondissement. Alors les autres chefs supérieurs   du   Ndé   m’ont taxé d’égoïsme parce que la compétition n’était pas élargie au niveau départe-
mental. Nous avons quatre arrondissements    dans    le    Ndé.    Cette préoccupation m’est venue en tête
lorsqu’il  fallait  que  j’organise   la 2ième édition. Pour la seconde fois, la compétition  était baptisée Ndé-
jeunesse-vacances. C’était en fait une grande fête de sport dans tout le département. Après cette compétition
assortie de la distribution de 3500 kits scolaires avec un vainqueur qui avait trois millions de FCFA,  cer-
taines personnes ont dû évaluer les sommes ainsi mises à la disposition des jeunes. Les chefs se sont concer-
tés dans l’intention de s’approcher de leur fils pour lui donner la responsabilité de la Panthère. J’ai d’abord
refusé. C’est après des clarifications que j’ai entrepris de  mettre de l’ar gent pour son fonctionnement. C’est
d’ailleurs ce qui a été fait.
Malheureusement, dès que l’Assemblée générale a confié l’équipe à mon groupe et a déposé ses rapports à la
ligue que le général Semengue a tout validé, que  surgit une  dame  chez nous dans le Ndé. Une sœur que je
respectais   parce  que  j’avais  une fausse impression d’elle, aujourd’hui je peux  vous  dire  que  je m’étais
trompé sur la qualité de la personne.
 
Elle a commencé à créer trop de problèmes. Nous avons alors tous com- pris que la Panthère était sa vache à lait. Elle prenait de l’argent dans les caisses de la mairie au prétexte que c’était pour subventionner l’équipe. Je parle de Mme Ketcha Courtès qui est maire de Bangangté. Aujourd’hui le général Semengue a essayé de re- cadrer les choses parce que le prési- dent du Comité de normalisation en la personne  de Me Happy a voulu s’immiscer à titre personnel dans les affaires du Ndé  au point,  où,  il a ignoré les résolutions de l’Assemblée générale de la Panthère et des déci- sions des onze monarques du Ndé. Tout être humain, qui plus est Bami- léké et qui décide de ne pas respecter ce que  11 chefs  sur 13 prennent comme décisions met en péril sa vie. C’est un peu maladroit de sa part, il m’a  reproché  de  l’avoir  traité  de mauvais avocat. Et pourtant, j’avais juste remarqué que cela m’étonnerait qu’il soit un bon avocat.  Alors la panthère est sur les bonnes marches. Et nous les dignes, nous les nobles, nous les élégants ne pouvons pas se reconnaître dans ces trois slogans et avoir une équipe en ligue 2. Nous sommes tous en train de créer une synergie, pas seulement Jules Fran- çois Famawa, mais toutes les forces vives du Ndé. C’est tout le monde à l’instar du président du Sénat, de M. Mbwentchou ou M. Tchatat. Nous sommes ensemble pour remettre la Panthère en division d’Elite et pourquoi ne pas, pour remporter la coupe du Cameroun cette année.  Ce qui est d’ailleurs mon objectif.

 

Le don de réalisé des économies



Avec le DP



Merci à notre champion Paul Biya



 Propos recueillis par
Joseph Ntsama Mbarga









 

Pin It

Publicités

Annonce

Message

Evènementiel