Révérend Dr Grégoire Abessolo Mbia, Modérateur du synode Metète
Je pense que vraiment lorsqu’on offre au Seigneur un temple pareil, on honore son nom. C’est pour le louer avec tant d’efforts d’une communauté et son berger que nous sommes partis de partout, de tous les statuts et de toutes les Eglises et surtout de l’Eglise presbytérienne camerounaise qui est ainsi honorée par le Consistoire Metèt qui a offert à Dieu un temple de cette envergure. Nous ne pouvons dire que merci et reconnaître la grande œuvre réalisée par notre collègue Martin Gervais Mbarga Mveng. Vous savez, tout ce que l’homme peut faire à l’endroit de Dieu n’est que louange et offrande. C’est une réaction face aux bienfaits de Dieu. Dieu a tout fait pour nous, c’est pourquoi lorsqu’on entreprend quelque chose en son nom, on ne lésine pas sur les moyens, on s’y met totalement, parce qu’avec lui nous avons tout et sans lui nous n’avons rien. Alors la cérémonie d’aujourd’hui met en valeur autant toute l’Eglise Epc que le consistoire Metèt que je représente. Parce que je suis le représentant du Synode Metèt, mais surtout le Consistoire Metèt grâce à cette grande œuvre architecturale. Que Dieu soit loué pour les efforts humains d’une communauté qui s’est donnée entièrement et ayant pour coach, si je peux me permettre le terme, le pasteur Martin Gervais Mbarga Mveng. C’est une fête qui va durer tant que cette maison va exister. Le pasteur Martin Gervais Mbarga Mveng est un homme de Dieu qui met tout ce que le Seigneur lui a donné au service de celui-ci. En trois ans, sa communauté et lui s’y sont mis, ils ont fait des efforts, des sacrifices comme il l’a dit de sa propre bouche, pour arriver à ce niveau. Je crois que c’est un exemple à imiter. Ça fait preuve de beaucoup de courage et surtout de beaucoup d’engagement. C’est un collègue qu’il faut prendre au sérieux. Pour nous les hommes, il faut la reconnaissance, la gratitude. Et surtout pour une œuvre de la sorte dédiée au Seigneur, je pense qu’il sera de même ailleurs, parce que nous sommes appelés à aller partout, mais pour le moment il est encore là parce qu’il faut parfaire cette œuvre. Il est vraiment à féliciter.
