Un promoteur en chef du chantier Cameroun
La grande implication de cet homme « providentiel » dans les projets de développement d’envergure, sur tous les plans, visant l’optimisation de l’image de son pays, lui donne une place de choix dans la jeune génération des promoteurs socio-économiques qui se posent en héritiers de vrais patriotes.
Quels sont les Africains les mieux logés au Canada ? Ils ne dépasseraient pas en nom- bre celui des doigts d’un homme, les Ca-
merounais qui répondraient correctement à cette question-colle. Et pourtant, il s’agit bien de leur compatriote, un illustre personnage très peu connu des populations il y a encore peu de temps qui, à l’aune de ses réalisations à grand caractère social, est aujourd’hui un Camerounais qui compte : Jules François Famawa. La quarantaine révolue, cet originaire du département du Ndé dans la région de l’Ouest Cameroun est le promoteur d’une kyrielle d’entreprises dont la DSC Marine (services) shippings and management consultants et la JFF. La JFF est un groupe de plu- sieurs sociétés parmi lesquelles : la JFF Oil (sta- tions-service) ; la JFF Equipements forcés (Travaux publics) ; la JFF Fisching (pêche) et la JFF Building. La direction générale de ce groupe se trouve à Yaoundé. Il faut souligner que la plu- part de ces entreprises sont implantées à Douala dans le Littoral et à Limbé dans la région du Sud- ouest.
Amateur de la politique, ce grand acteur social
Chevalier de l’Ordre de la Valeur : La nation reconnaissante
Avec le président Faustin Archange Touadera de la RCA
qui fait une fixation sur l’épanouissement collectif des Camerounais, joue un rôle économique émi- nent aujourd’hui dans son pays. Il s’agit de la mise en route de plusieurs projets de développement, de l'amélioration de la condition des populations de l’Ouest et des autres régions du Cameroun. Avec donc plus d’une flèche à son arc, Jules François Famawa a revêtu le manteau d’acteur de dé-
veloppement socioéconomique et ne lésine pas sur les moyens pour apporter son concours à la mise en place du tissu économique et associatif à même d’accompagner le Cameroun à l’émergence. C’est ce qui justifie sa présence remarquable, en qualité de sympathisant aux manifestations du Rdpc, de même qu’au chevet de la jeunesse. On comprend son implication lors du lancement du
Comme Paul Biya aux étudiants : don des ordinateurs
Séance de travail avec les partenaires
Il reçoit la mission de la culture de la paix
Mouvements sportifs
Ce concept à la faveur du rap- prochement et du partage entre jeunes de ce département a été inauguré l’année dernière à Bangangté. Du 26 juin à la fin du mois d’août, strate de la po- pulation s’est retrouvée dans le cadre de plusieurs mouvements sportifs. « Il y avait le crosscountry et le football. Au total
24 équipes à raison de 06 par arrondissement ont pris part au championnat de football. Bamena Fc, le vainqueur, a en- caissé la rondelette somme de 5 millions ; le second 2,5 millions de Fcfa ; le meilleur joueur du championnat tout comme le plus discipliné ont reçu chacun 400.000 F. Quant au cross- country, le gagnant chez les hommes a eu un million de Fcfa, et chez les femmes, la meil- leure a empoché la somme de
700.000 F ».
De l’eau potable aux populations
Marche de soutien au président Biya
A travers le triangle national, Jules François Famawa force l’admiration par son engagement à lutter contre l’enclavement et la pau-
vreté. Comme le témoignent bon nombre de ses actions sociales à l’instar de la construction des forages. Selon des sources concordantes et dignes de foi, plus de 40 forages sont déjà mis au service des populations dans plusieurs localités du pays, comme Ngoulma- kong dans le Sud, Mamfé dans le Sud-ouest, Makak dans le Centre. En fait, on dénombre dans le Nord-ouest au moins 09 forages construits par les soins de cet homme de cœur, et entre 09 et 11 à l’Ouest notamment dans le Ndé.
Le Littoral comme les autres régions ne sont pas à la traîne. On note également la construction des adductions d’eau. Dans la même veine, le 11 février dernier, on a assisté à la pose de la pre- mière pierre pour la construction, à l’hôpital de Bazou, . Le plan de cet édifice prévoit des salles modernes d’hospitalisation et d’un bloc opératoire. Cet objet d’une promesse faite le 06 novembre
2017 à l’occasion de la célébration des 36 ans du président Biya à la Magistrature suprême.
Un des forages offerts aux populations du Nord-Ouest
Une adduction d’eau construite en faveur des populations de Bangangté
Pose avec le meilleur joueur du tournoi Ndé Jeunesses Vacances édition 2017
Remise du trophée au Prefet ayant présidé le Ndé Jeunesses
Vacances 2017 avec l’onction des Chefs traditionnels
Les félicitations du Ministre de la Jeunesse
Dans le domaine éducatif, un bon nombre d’établissements maternels, primaires et secondaires ont bénéficié des libéralités de Jules
François Famawa. Dernièrement, les établissements secondaires de Bazou ont reçu dix ordinateurs chacun. A Bamenda, les mêmes
appareils ont été distribués au nombre de 50.
Panthère de Bangangté
En ce qui concerne l’actualité la plus brillante, il y a celle de la Panthère de Bangangté. C’est un club de Ligue 2 nationale sur le- quel Mme Courtès, maire de Bangangté, veut mettre du grap- pin. Quitte à utiliser de faux do- cuments qui lui donneraient le droit de préemption sur sa ges- tion. Toutes choses pour les- quelles ce dynamique homme d’affaires a été appelé à la res- cousse par les 13 têtes couron- nées du Ndé pour lui servir de bouée de sauvetage.
Selon nos sources, pendant les quatre ans (2013-2017) qu’a duré la convention qui liait l’Association Panthère composée de
13 chefs supérieurs qui sont son socle à Panthère SA, le club de football, Panthère du Ndé, a pataugé dans une série de scan-
dales. Scandales révélateurs au premier titre de la mal gouvernance de ses dirigeants. Détournements de fonds, corruption
active et passive, abus de confiance, faux et usages de faux, complicité. Tout y est passé.
Conséquences : les caisses du club se sont trouvées essorées.
Sur le plan purement sportif, le club a été rétrogradé en ligue 2 nationale, après avoir fait piètre figure au championnat de ligue 1.
Figuraient en bonne place de sa gestion, des pratiques destinées à l'enrichissement personnel de ses responsables administratifs,
parmi lesquels Mme le maire de Bangangté Ketcha Courtès. A l'origine de ces perversions, la marchandisation de l’équipe.
Remetant la clé du véhicule offert au Chef traditionnel Bazou
Elevé à l’honorabilité traditionnelle,
Nza Mekep Watgap Keu’Dieuhi : Mekep Napgon
Famawa Jules François
Avec le gardien de la tradition du royaume Bazou
Le jour de l’adoubement
« Nza Mekep »
Il fallait donc des personnes qui montrent la ferme déter- mination et la volonté inébranlable de mettre les moyens pour financer les ambitions de cette équipe de football. C’est dans cette optique que s’est tenue l’Assemblée géné- rale le 04 février dernier. Il était question lors de ces as- sises, en premier de l’affiliation du club après la fin de la convention de quatre ans qui liait l’Association Panthère. Aussi, les caisses du club sont sorties laminées au terme de ce contrat foireux, il fallait pour son redémarrage, entre
250 à 300 millions FCFA. Pour répondre à la sollicitation des autorités traditionnelles du Ndé, Jules François Fa- mawa a posé la somme de 200 millions de FCFA sur la table. Le ‘’maire des jeunes’’, Eric Niat, a ajouté à la ca- gnotte 20 millions de FCFA.
Somme toute, Jules François Famawa, en dehors de sa ré- putation pour son soutien apporté aux personnes vulné- rables, la promotion de la tradition et de la culture de son département, de même que son développement socio- économique comptent parmi ses principaux centres d’in- térêt. Cette sorte d’engagement et la fidélité valent à ce père de famille aussi bien des distinctions honorifiques nationales : Il est fait Chevalier de l’ordre de la valeur, mais également l’adoubement traditionnelles avec des chefs supérieurs de l’Ouest. Du monarque de Bazou, Jules François Famawa a été élevé à la dignité de « Nza Mekep Watgap Keu’Dieuhi : Mekep Napgon Famawa Jules Fran- çois », le plus grand titre d’honorabilité dans le départe- ment du Ndé.