Le ministre d’Etat, secrétaire général de la présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh, a été pris en sandwich par quelques geignards dans la capitale belge où il représentait son pays aux travaux relatifs au 6ième sommet UE-UA. Quelques jours après cette scène ubuesque, les langues  se délient.

Comme cela fut déjà le cas du chef de l’Etat camerounais, deux fois de suite, en séjour en Europe, le ministre d’Etat, secrétaire général de la présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh, a essuyé les aigreurs d’une bande de personnes armées des pancartes au ton comminatoire et injurieux lors de son séjour bruxellois, il y a quelques jours. Ce proche collaborateur du président de la République, Paul Biya, le représentait aux assises du 6ième sommet Union européenne (UE)-Union africaine (UA) qui s’est tenu du 17 au 18 février dernier à Bruxelles, capitale de la Belgique et siège de l’UE.

Qui étaient donc ces hommes chargés de porter atteinte à l’honorabilité du Sg/Pr dans ce pays européen ? Depuis quelque temps, en fait, les langues se délient. Si une frange de l’opinion a, de manière hâtive, condamné les membres de la Brigade anti-sardinards (BAS), il s’est révélé par la suite que même si le modus operandi est celui de cette organisation réputée hostile au régime de Yaoundé, il s’agit bien d’une autre bande de fourriers de désordre. Des hors-la-loi dont le dessein sinistre était de s’attaquer de front au ministre d’Etat, secrétaire général de la présidence de la République. Quelles étaient leurs motivations ? En effet, selon certaines sources, ces « vermines » qui vivent aux crochets de certains politicards africains, étaient missionnés à partir du Cameroun, d’importantes sommes sonnantes et trébuchantes à la clé, pour mener une agression contre Ferdinand Ngoh Ngoh, sans préjudice d’attenter à son intégrité physique.

                            

                                                               Mécanismes constitutionnels

« Ces personnes n’étaient pas des Camerounais, certains ayant affirmé qu’ils étaient originaires de la République démocratique du Congo, d’autres du Burkina Faso. Ils ont reçu assez d’argent envoyé du Cameroun pour cette sale besogne. Argent qu’ils se sont partagés au vu de tout le monde. Ce sont à la vérité des flemmards qui infestent les faubourgs de Bruxelles. Derrière cette action scélérate se cachent certains des hommes politiques qui font de la fixation sur la fin du règne du Renouveau et qui considèrent Ferdinand Ngoh Ngoh comme une sérieuse menace pourtant, le Cameroun a bien des mécanismes constitutionnels d’accession à la magistrature suprême qui sont bien connus de tous. Ceux qui trouvent en le Sg/Pr un dauphin du président Paul Biya ont besoin de se dessiller les yeux. Ils se battent contre les moulins à vent finalement », disait en substance un membre de la diaspora camerounaise en Europe.    

Et comme on pouvait s’attendre, la tentative d’agression sur ce haut responsable de la présidence camerounaise a suscité une vague d’indignation et de protestation au sein de l’opinion nationale. Et pour certains Camerounais, ces incidents, somme toute lilliputiens ne devraient pas distraire leurs dirigeants qui ont plusieurs défis à relever aujourd’hui afin de permettre à leur pays de continuer de donner allegro sa voix dans le concert des nations.  Il est question entre autres de briser le mur que les réseaux sociaux et autres médias conventionnels cherchent à ériger entre les citoyens camerounais qui, par ailleurs, ont tout intérêt de sortir de la logique du conflit permanent.

                                Dossiers sensibles

Comme faisait d’ailleurs remarquer un confrère, les auteurs de l’offensive de la rumeur et du mensonge sur le dauphinat de Ferdinand Ngoh Ngoh, développée sur les réseaux sociaux devraient éprouver de la honte. Le secrétaire général de la présidence est un homme à poigne qui gère avec une extrême habilité les dossiers sensibles de la République. Il fait partie de personnes de confiance, fidèles et travailleurs dont le Président a besoin autour de lui  afin de relever de nombreux défis pour la bonne marche du pays. Le reste, c’est du pipeau !

Pour l’information des comploteurs carton-pâte qui menaient une politique de gribouille et qui ont dans leur ligne de mire Ferdinand Ngoh Ngoh, ce haut commis de l’Etat a jusqu’ici montré patte blanche partout où il a été appelé à servir sous le drapeau Vert-Rouge-Jaune, après avoir suivi le cursus des us et coutumes de la haute administration. Formé à l’Institut des relations internationales du Cameroun (Iric), ce natif de Minta, dans le département de la Haute-Sanaga, région du Centre est un diplomate accompli qui a accédé au poste stratégique et névralgique de Sg/Pr grâce à la méritocratie républicaine, poste dans lequel il pulvérise d’ailleurs tous les records. N’en déplaise !

Joseph Mbarga Ntsama

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