La facturation d’ENEO ne donne toujours pas satisfaction
The energy of Cameroun (Eneo), met beaucoup d'énergie à malmener le Cameroun et ses citoyens. Irruption dans les pratiques sombres de la société en charge de donner la lumière.
La société en charge de l'électricité au Cameroun ne brille plus, ou mieux, brille par d'obscures pratiques. Les récriminations des populations contre cette société sont nombreuses et diverses. Délestages intempestifs, fausses facturations due généralement à l'incompétence des agents releveurs qui, par paresse ou par mauvais esprit, imaginent des index de consommation à partir de leur bureau. A cela s'ajoutent des interruptions d'électricité aux clients sans état d’âme. Pis encore, ces temps derniers, Eneo ne distribue plus du tout les factures à ses clients. Seuls les avis de coupure sont systématiques. Et pour cause, ces avis de coupure sont des moyens de pression entre les mains des agents corrompus des sociétés de sous traitance qui extorquent ainsi de l'argent aux clients pour des moratoires qui ne leur sont pas accordées au final. La pire de ces pratiques est l'œuvre d'une espèce de brigade nommée PNT qui selon certaines indiscrétions ne rend compte qu’à la direction générale d’Eneo basée à Douala. Cette brigade de recouvrement forcé compte en son sein des jeunes gens en quête d’emplois. Cette véritable meute de chiens enragés brillent par un excès de zèle.
Monsieur Etienne Ateba a fait l'amère expérience de recevoir la visite de cette horde de chiens de chasse. Sa consommation du mois à peine réglée, les agents de cette fameuse brigade l'informe qu'il y aurait des branchements frauduleux dans son immeuble et que sa non dénonciation du coupable est un motif suffisant pour voir son alimentation en électricité interrompue et scellée. Il se voit demander la somme de 112000 (cent douze mille francs CFA) s'il désire retrouver les plaisirs de la lumière.
Le cas de Monsieur Etienne Ateba n'est pas isolé. Des tels exemples sont légion, ce, avant même l'arrivée de cette brigade de recouvrement forcé au sein de la maison noire appelée Eneo.
Les autorités du Cameroun doivent, dans l'urgence, scruter de près les pratiques de cette société qui fait beaucoup de mal aux camerounais
