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             Non sans convier médias et Ong, le vice-Premier ministre  Alfonso Nsue Mokuy en apporte la preuve chaque fois que l’occasion lui est donnée.

     La démocratie et le respect des droits de l’homme définis et imposés par l’Occident, sont un luxe pour les États africains. C’est une pensée profonde du président français, Jacques René Chirac. Pour le cas de la Guinée équatoriale, c’est injuste et même une insulte de soutenir que les droits de l’homme sont bafoués dans son pays. On est tous témoins de la mue, de la profonde transformation socio-économique et politique que connait ce pays. Ce, depuis l’accession au pouvoir du président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. Dans tous leurs aspects, les conditions d’épanouissement des populations sont pensées et réalisées. Les populations surtout jeunes, sont mises dans des conditions qui leur permettent d’oser, de se surpasser.

Comment donc parler de non-respect des droits de l’homme alors que sans distinction aucune, les infrastructures publiques sont construites pour bénéficier à tout le monde ? La jeunesse est incitée à étudier. Des bourses publiques sont accordées pour étudier aussi bien au pays qu’à l’étranger. Le marché de l’emploi est ouvert à tous dans les secteurs public, parapublic et privé. Qui en Guinée équatoriale n’a pas joui du taux de croissance qui a culminé vers 17 %?

Pas un seul morceau du territoire national qui n’ait été désenclavé. Ayant constaté que ses concitoyens (surtout de l’arrière-pays) habitaient des taudis, témoins de la ruine économique dans laquelle ils avaient été abandonnés depuis l’indépendance de ce territoire, le président de la République avait eu recours à une campagne nationale de nouveaux habitats. Les personnes physiquement vulnérables (handicapés) sont recensées et reçoivent mensuellement une pension. N’est-ce pas cela se préoccuper du bien-être de ses populations ? Aux yeux de certains, la Guinée équatoriale est un paradis. Tant le président Obiang Nguema Mbasogo  s’évertue à offrir à chaque homme vivant sur le sol équato-guinéen ce qu’il a de plus cher : sa dignité. Quand ainsi sont créées des conditions d’épanouissement de ses compatriotes, où serait la place du non-respect des droits de l’homme?

 

                                                                            Actions d’Alfonso Nsue Mokuy

 Reconnaissance du respect des droits de l'homme en Guinée équatoriale  par une ONG canadienne 

Malgré les efforts de développement de son pays (assez succinctement repris ci-dessus) le pays du président Obiang est si souvent indexé pour son non-respect des droits de l’homme. Pour y apporter toute la lumière nécessaire, le poste de vice-Premier ministre en charge des Droits de l’homme a été créé au sein du gouvernement. Le chef de l’État n’a pas trouvé mieux qu’une personnalité qui lui est hostile et donc particulièrement critique. Il s’agit de Monsieur Alfonso Nsue Mokuy son opposant. En toute responsabilité et prenant les Équato-guinéens à témoin, il a lancé de nombreuses actions. Somme toute, celles-ci versent de l’eau à notre moulin… réconfortent notre point de vue.

La transparence fut le premier souci de l’autorité en charge des droits de l’homme en Guinée équatoriale. Aussi ce responsable a-t-il ouvert les portes aux Ong et à la presse. Pour être suffisamment à la hauteur de la tâche, un séminaire de mise à niveau sur le thème «Enjeux des Droits Humains et le rôle des médias dans la société africaine» s’est tenu. Les ateliers de ces travaux étaient animés par des experts venus d’Afrique et d’Europe. Plus loin, s’exprimant au Conseil des droits de l’homme en février 2018, le 3e vice-Premier ministre M. Nsue Mokuy a expliqué que son pays avait été victime, en décembre 2017, d’une agression terroriste des mercenaires financés de l’extérieur. Deux cents individus avaient visiblement la mission d’assassiner le président de la République et sa famille ; de déchoir par les armes le gouvernement constitutionnellement établi et  de massacrer la population.

Au niveau national, les institutions publiques se sont engagées à prévenir et pénaliser toute violation des droits de l’homme. Dans ce pays, une amnistie provisoire a pris la place de la peine de mort. Dans la même veine, un plan d’action de lutte contre la traite des personnes est en vigueur. Le parlement des enfants a aussi été lancé tandis que la qualité des enseignements a été relevée pour s’arrimer aux nouvelles exigences professionnelles. La convention des Nations Unies contre la corruption a été votée par un parlement bicaméral pour être ratifiée par le chef de l’Exécutif. En somme, le gouvernement de la Guinée équatoriale est conscient non seulement du fait que les droits de l’homme sont à la base de la réalisation des objectifs de développement durable, mais aussi de la nécessité de donner la priorité aux cibles nationales et d’élaborer des indicateurs pertinents et viables en termes de suivi et d’examen. Toutes ces informations ont été portées à cette instance onusienne afin que personne et surtout pas un pays, une Ong ne soit à la traine des informations relatives au respect, à la protection des droits de l’homme sur le territoire équato-guinéen.

 

En Europe

Le vice-Premier ministre a conduit une importante délégation dans certaines villes européennes. Il était question d’y aller combler le défaut d’informations sur la préoccupation des droits de l’homme en Guinée équatoriale. Nsue Mokuy a d’abord déposé ses valises à Strasbourg (France) où il a eu des séances de travail avec des parlementaires européens. Puis à Paris, le vice-Premier ministre a donné une conférence de presse. Il n’a surtout pas manqué de fustiger ces médias (occidentaux) qui, comme certaines Ong, sont à la solde des lobbies. Ces derniers mènent des campagnes de diabolisation contre la Guinée équatoriale.

Certains faits relevés par le conférencier : en 1979, la Guinée équatoriale travaillait en étroite collaboration avec la commission des droits de l’homme de l’ONU. Depuis cette époque, cette instance fait des rapports sur ce pays d’Afrique centrale. Leurs contenus n’ont jamais été ce qu’on lit ou écoute sur les médias européens. Le contenu de ces textes trouve ses vraies raisons ailleurs. Ces actions du vice-Premier ministre et bien d’autres contribueront très certainement aujourd’hui à peindre autrement la Guinée équatoriale. Le président Obiang Nguema Mbasogo en a fait un pays des droits de l’homme.           

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