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                                                                                 Manuel OSA NSUE NSUA, DG 

L’institution bancaire leader en Guinée équatoriale est en train de devenir un véritable modèle de gestion au sein du marché financier de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale où elle entend gagner droit de cité dans certains pays, notamment au Cameroun. 

Portée sur les fonts baptismaux il y a seulement 17 ans, Banco Nacional de Guinea Ecuatorial (BANGE) fait aujourd’hui autorité dans le secteur bancaire équato-guinéen, pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) dans lequel elle occupe la tête de peloton. Dominant les opérations financières, la BANGE s’est engagée à accompagner avec détermination ses clients ; à proposer des produits, des services ; à assurer un engagement durable, social et environnemental, etc. Toutes choses qui lui donnent une place prépondérante dans les circuits de financement de l'économie équato-guinéenne. Les marges dégagées sur les différentes opérations lui permettent de maintenir sa place de leader. Son expérience et sa technicité dans un environnement économique pas toujours reluisant  ont contribué à la hausse progressive  de son produit net bancaire. D’ailleurs, les mesures prises jusqu'à présent par le top management de cette struture s'inscrivent dans cette tendance évolutive.

                                                                      Emilio Moyo Avoro, DG BANGE Cameroun 

En dépit de l’effondrement des cours du pétrole sur le marché international notamment en 2008, et bien d’autres aléas, cette banque a su maintenir le cap. Une stabilisation qui était alors tributaire en partie du dynamisme et surtout de la science de ses dirigeants. «  Comme toujours, quand l’on évolue dans un environnement concurrentiel, les ressources humaines sont le premier facteur clé de succès. Les autorités équato-guinéennes ont fait le bon choix en plaçant à la tête de la BANGE dès sa création en 2005, les plus brillants financiers du pays. À ceux-ci, elles ont confié une mission majeure pour le développement du pays et le service des citoyens et des entreprises », selon un expert financier équato-guinéen.

 

                                                                                                          Taux de satisfaction

Parmi les atouts de cette institution bancaire qui ambitionne d’étendre ses services à travers les pays de la CEMAC en commençant par le Cameroun, considéré comme la locomotive économique de cette zone, il y a le fait qu’elle se retrouve sur l’ensemble du territoire national équato-guinéen. La BANGE est également en première ligne en termes de taux de satisfaction et de fidélité des clients. « Ils ne doivent pas être loin de 100 000, ces clients à se tourner vers la BANGE pour réaliser leurs projets, y placer leur épargne ou emprunter. Dans tous les cas, ils sont servis, la BANGE ayant développé une variété de produits et de services bancaires pour répondre à la demande des clients », selon certaines sources dignes de foi.

                                                                                     Une Equipe dynamique 

En dehors de l’accueil de qualité exceptionnelle, dans le respect strict de mesures barrières visant à barrer la voie à la pandémie du Covid-19 réservé à tous les usagers, la banque a développé une politique-clients et des activités back-office qui font aujourd’hui cas d’école ailleurs. Celle-ci, à en croire certains confrères, « entretient une culture d’excellence dans ces activités de back-office qui sont notamment le contrôle de gestion, les audits, la maîtrise des coûts, la fluidité des opérations interbancaires, l’évaluation et la pondération des risques, la motivation du personnel, et depuis quelques années, le développement d’une plate-forme technologique, indispensable à toute banque qui veut survivre aujourd’hui et encore plus, prospérer demain. Puisque son modèle d’affaires privilégie le service du client, la satisfaction de l’actionnaire, la BANGE peut voir l’avenir avec confiance. Vis-à-vis du client et de l’actionnaire, la BANGE montre un niveau d’intégrité et de transparence qui n’est pas courant ».

                                                          

                                           Une  cérémonie solennelle de BANGUE                                                                   

Toutefois, il n’est pas superfétatoire de rappeler qu’en 2009, la Société africaine de développement (ADC) est devenue le deuxième actionnaire de la BANGE, suite à la morosité du marché international et surtout à cause de la chute des prix des hydrocarbures qui constituent l’essentiel des recettes du pays, en 2008. Une situation qui n’a pas duré longtemps, ce d’autant plus que, après trois ans seulement, à la faveur de bons résultats enregistrés par la BANGE, l’État a pu racheter les parts d’ADC. La résilience de cette banque sera d’autant plus surprenante qu’alors que la crise bat son plein, celle-ci réussit le tour de force, en 2013, à ouvrir cinq nouvelles agences, mais également à procéder à sa restructuration à l’effet de faire face à cette conjoncture. « Disposant aujourd’hui d’un capital social d’environ douze milliards de francs CFA, d’une solide expérience nationale, la BANGE se tourne à l’international pour développer son expansion. Elle a l’ambition de s’imposer d’abord dans la sous-région de la CEMAC. Pour cela, elle n’a pas choisi la facilité puisqu’elle s’attaque tout d’abord au marché camerounais, le plus important de la CEMAC », confie une source proche de cette banque.

                                                                                   Tête couronnée des finances 

En toile de fond de la réussite et des performances de la BANGE, toutes proportions gardées, les Équato-guinéens voient la ressource humaine dont elle est pourvue et qui a la réputation d’avoir bénéficié des formations professionnelles efficaces et adaptées aux besoins du marché financier, sous la férule du directeur général, Manuel Osa Nsue Nsua. À l’actif de ce manager de génie, la bouée de sauvetage trouvée alors que la banque était menacée de fermer ses portes. Il faut dire qu’il intègre cette institution bancaire en 2012, ce qui lui permet en un temps record  de se réapproprier les actions des partenaires étrangers et d’en faire le principal actionnaire avec plus de 60 % du capital. Au demeurant, né il y a moins de 46 ans, ce fils de Nsok-Nsomo, tête couronnée de la finance, a un parcours de banquier atypique qui le place parmi les monstres sacrés de ce domaine. La BANGE peut également compter pour son essor sur plusieurs autres cadres, notamment l’ingénieur financier Pedro Abeso Obiang Eyang, son directeur général adjoint ; mais également sur des as de secteur bancaire équato-guinéen à l’instar d’Emilio Moyo Avoro directeur général de la BANGE Bank Cameroon et de Clement Janvier Clement Ekolo Tsitsi, son adjoint.

                                                                             Joseph Ntsama Mbarga 

 

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